Le Musée d'art et d'histoire de Saint-Brieuc vous propose chaque jeudi de 12h30 à 13h30 sur le temps du déjeuner des Visites "[FOCUS]", regards sur les collections du musée. Gratuit.
RDV Jeudi 30 juillet avec Marie HUBER, muséographe, qui vous propose son regard sur une représentation de coiffe bretonne d'une plaquette marketing du Centre Alma de Rennes.
Des clichés bretons sous l'angle de la muséographie et de la posture critique.
Visite sensible, médiation polyphonique pour présenter un objet de son choix, à sa façon, en son nom et en parler ensemble, au cœur d’un débat mouvant.
Si cette présentation vous intéresse, merci de vous renseigner auprès du musée et de vous inscrire dans le nombre de places disponibles (10 personnes) :
au 02 96 62 55 20 ou musee@saint-brieuc.fr
mardi 28 juillet 2020
mercredi 22 juillet 2020
Exposition photographique Albert Pennec à Saint-Servais -29
Exposition photographique Albert Pennec à Saint Servais (29)
"Les Gitans"
47 photos du photographe landivisien Albert Pennec. La plupart d’entre elles sont accompagnées par de superbes textes du poète morlaisien Jean-Albert Guénégan.
Il a accepté de montrer ses trésors « la magie des Bohémiens ». Adopté par eux, vivant avec eux dans leurs roulottes, il multiplie les prises de vue de ces gens sauvages, sensibles et généreux. La vie de Sainte-Marie de la Mer sera révélée au public sous une 40aine de clichés originaux.
Venez découvrir aussi les trésors de l’Enclos Paroissial et de l’exposition consacrée aux photographies et ouvrages illustrés de Yan’ Dargent.
Ouvert tous les jours, sauf le jeudi, de 14h à 18h. Entrée 4€
Du 4 juillet au 20 septembre Musée Yann Dargent -Saint-Servais ( à proximité Landivisiau)
À l’image du photographe, les visiteurs pourront faire voyager dans un monde méconnu. Comme Albert Pennec(à gauche sur la photo) lui-même, dès 1976, lorsqu’il participa pour la première fois, pendant trois jours, à la convention que les gitans tenaient à Plounéour-Trez. Une rencontre qui déboucha sur de nombreuses autres, jusqu’aux pèlerinages aux Saintes-Maries-de-la-Mer, en 2018 et 2019. Des milliers de photos, parmi lesquelles le Landivisien a choisi près d’une cinquantaine. Il multiplie les techniques, de l’argentique au numérique, en passant par les photos en noir et blanc ou en couleur, les scans et les montages. De la procession de Sara aux scènes de rue, égayées par les guitares et les danses, en passant par la vie dans les roulottes et de superbes portraits, Albert Pennec a su magnifiquement montrer tout l’amour qu’il portait à cette communauté. Il y a rencontré Pauline, une jeune gitane landivisienne, dont les visiteurs pourront apprécier la grâce, dans une danse photographiée lors d’un pèlerinage aux Saintes- Maries. Albert Pennec, lors de l’ouverture de cette exposition, s’est dit « fier des textes de Jean-Albert Guennégan ( à droite sur la photo), qui a parfaitement compris la nature des clichés que je lui ai proposés, et superbement traduit l’émotion que je ressentais en les faisant ».
Séance de travail sur le Fonds Bailly avec Albert Pennec
Séance de travail sur le Fonds Bailly avec Albert Pennec
Nous nous sommes rendus (Daniel et Réjane Labbé, André et Noëlle Bouet ) chez Albert Pennec , photographe à Landivisiau et qui a une connaissance étendue de cette région du Finistère,
Après lui avoir exposé le cheminement de notre travail, nous lui avons soumis de nombreuses photos pour lesquelles nous manquions d'informations, il a pu retrouver les lieux de prises de vues de la majorité de celles-ci.
Nous avons prévu d'autres séances de travail courant août .
Voici des photos de notre après midi studieux
lundi 20 juillet 2020
Atelier Bailly , on continue pendant l'été
Prochaines dates de l'atelier Bailly
le jeudi 30 juillet
le jeudi 6 aout
le jeudi 13 aout
de 10h à 17h au rdc du pavillon des expositions temporaires (distanciation et vaste espace) ces ateliers d'été concernent le référencement des images du Fonds Bailly.
Rejoignez nous
le jeudi 30 juillet
le jeudi 6 aout
le jeudi 13 aout
de 10h à 17h au rdc du pavillon des expositions temporaires (distanciation et vaste espace) ces ateliers d'été concernent le référencement des images du Fonds Bailly.
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l'expo 2020, d'Ar Skol à Ploumanac'h
l'expo 2020, d'Ar Skol à Ploumanac'h
Ce petit dossier pour présenter aux Amis du Musée de St Brieuc, l'expo 2020,
d'Ar Skol à Ploumanac'h, à pas 200 mètres des feux du carrefour Ploumanac'h/La
Clarté et Perros Guirec/Trégastel..., à gauche en entrant dans le bourg, dans
l'ancienne école maternelle.
Ouvert depuis l'été dernier, le "Musée" d'art Ar Skol, présente cette année, dans des salles simples et sobres dédiées à la découverte des oeuvres, les peintre de Ploumanac'h, avec Maurice Denis, Sabbagh, Clouard, Zingg, Challié... et accueille deux expositions temporaires pour l'été 2020 :l'oeuvre multiple d'Adolphe Otto Seligmann (1862/1928) et les dernières oeuvres sculptées d'Alain Marcon, qui portent toujours un regard critique et lucide sur notre société et le monde dans lequel elle s'inscrit.
Concernant l'exposition Seligmann, elle permet de découvrir une petite partie de l'oeuvre inédite du peintre, aquarelliste et graveur qui vécu à Kerzellec, au Pouldu pendant presque vingt ans de 1894 à 1914. Originaire de Karlsruhe, il se fixe définitivement en Bretagne en 1893 jusqu'à sa mort. Il est le peintre qui vécu le plus longtemps au Pouldu avant la déflagration monstrueuse de 1914. Confrère et ami de Beaufrère, Filiger et certainement de Slewinsky, O'Conor et d'autres, il resta toujours très discret, ne se consacrant uniquement qu'à son travail et à sa famille. Son oeuvre, jusqu'à ces dernières années, restait entièrement inconnue.
Une exposition rétrospective lui fut consacrée en 1927 à la Galerie Pêche à Quimper peu de temps avant sa mort. Depuis son oeuvre tomba dans un oubli complet, mais fut conservée par sa belle fille et sa petite fille Mme Yvonne Seligmann. Oublié des histoires de la peinture bretonne pendant des décennies, une première mention de son travail est apportée par l'ancienne directrice du Musée de Pont Aven Catherine Puget, dans les années 90, avec la publication d'une première gravure, elle en est, en quelque sorte, "l'inventeur(e)".
Mais la résurrection de l'oeuvre se fait sans elle, car elle coïncide avec son départ en retraite. C'est en fait Anne-Marie Le Bayon, restauratrice à Ploumanac'h et passionnée de la peinture bretonne qui fait la découverte du fonds d'atelier du peintre au tout début des années 2010. Un projet d'exposition au musée de Pont Aven s'élabore avec la nouvelle direction. Il s'accompagne d'une donation de deux tableaux importants. Mais le projet d'exposition ne se concrétise pas malgré plusieurs années d'attente. Seligmann est sans doute devenu moins "adapté" aux nouveaux critères de programmations du nouveau musée de Pont Aven...
En 2018/19, le projet est récupéré par la commune de Clohars Carnoet et l'oeuvre est présentée pour la première fois aux amateurs dans sa presque totalité.
L'exposition, beaucoup plus réduite, hélas d'Ar Skol, s'inscrit comme un retour aux sources de sa découverte par Anne-Marie Le Bayon et est réalisée afin de faire connaitre ce travail inédit aux amateurs de la Côte Nord Bretagne. Seligmann était tout à la fois peintre, aquarelliste et graveur et il nous offre une vision nouvelle du Pouldu et de son monde paysan. C'est à la fois une découverte artistique et ethnographique qu'il ne faut pas rater.
Ouvert depuis l'été dernier, le "Musée" d'art Ar Skol, présente cette année, dans des salles simples et sobres dédiées à la découverte des oeuvres, les peintre de Ploumanac'h, avec Maurice Denis, Sabbagh, Clouard, Zingg, Challié... et accueille deux expositions temporaires pour l'été 2020 :l'oeuvre multiple d'Adolphe Otto Seligmann (1862/1928) et les dernières oeuvres sculptées d'Alain Marcon, qui portent toujours un regard critique et lucide sur notre société et le monde dans lequel elle s'inscrit.
Concernant l'exposition Seligmann, elle permet de découvrir une petite partie de l'oeuvre inédite du peintre, aquarelliste et graveur qui vécu à Kerzellec, au Pouldu pendant presque vingt ans de 1894 à 1914. Originaire de Karlsruhe, il se fixe définitivement en Bretagne en 1893 jusqu'à sa mort. Il est le peintre qui vécu le plus longtemps au Pouldu avant la déflagration monstrueuse de 1914. Confrère et ami de Beaufrère, Filiger et certainement de Slewinsky, O'Conor et d'autres, il resta toujours très discret, ne se consacrant uniquement qu'à son travail et à sa famille. Son oeuvre, jusqu'à ces dernières années, restait entièrement inconnue.
Une exposition rétrospective lui fut consacrée en 1927 à la Galerie Pêche à Quimper peu de temps avant sa mort. Depuis son oeuvre tomba dans un oubli complet, mais fut conservée par sa belle fille et sa petite fille Mme Yvonne Seligmann. Oublié des histoires de la peinture bretonne pendant des décennies, une première mention de son travail est apportée par l'ancienne directrice du Musée de Pont Aven Catherine Puget, dans les années 90, avec la publication d'une première gravure, elle en est, en quelque sorte, "l'inventeur(e)".
Mais la résurrection de l'oeuvre se fait sans elle, car elle coïncide avec son départ en retraite. C'est en fait Anne-Marie Le Bayon, restauratrice à Ploumanac'h et passionnée de la peinture bretonne qui fait la découverte du fonds d'atelier du peintre au tout début des années 2010. Un projet d'exposition au musée de Pont Aven s'élabore avec la nouvelle direction. Il s'accompagne d'une donation de deux tableaux importants. Mais le projet d'exposition ne se concrétise pas malgré plusieurs années d'attente. Seligmann est sans doute devenu moins "adapté" aux nouveaux critères de programmations du nouveau musée de Pont Aven...
En 2018/19, le projet est récupéré par la commune de Clohars Carnoet et l'oeuvre est présentée pour la première fois aux amateurs dans sa presque totalité.
L'exposition, beaucoup plus réduite, hélas d'Ar Skol, s'inscrit comme un retour aux sources de sa découverte par Anne-Marie Le Bayon et est réalisée afin de faire connaitre ce travail inédit aux amateurs de la Côte Nord Bretagne. Seligmann était tout à la fois peintre, aquarelliste et graveur et il nous offre une vision nouvelle du Pouldu et de son monde paysan. C'est à la fois une découverte artistique et ethnographique qu'il ne faut pas rater.
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